KOMOREBI

[…]

comment en es-tu venu à baisser le regard? n’y avait-il rien qui avait trouvé grâce à tes yeux?

justement. la contemplation de la ville, des villes, devrais-je dire, exerçait une telle fascination, les jardins recelaient tant de perfection que j’en vins tout naturellement à m’incliner et ce faisant…

ainsi c’est la marche qui…

affina ma vision, cala mon esprit. ces pérégrinations dans les coulisses du paysage, comme l’écrivait m. butor, me laissèrent toute latitude à la rêverie.

[…]

AUTEUR

Alain Renoult

EDITION

Le Mot Everest

IMPRESSION

Genève, août 2016